26/09/2014 / Julien Gasc

LE DANDY JULIEN GASC REJOINT NOTRE CATALOGUE!

Julien Gasc fait peut être partie de ces dandys qui transforment la réalité en quelque chose de moins pathétique. Il conserve une part de mélancolie mais aussi un regard rieur, du recul et de l’autodérision vis-à-vis de l’absurdité de notre condition. Être dandy, ça peut aussi vouloir dire ne jamais se répéter, être en perpétuel renouveau, trouver de nouvelles influences en soi-même, revisiter son intérieur, son musée intérieur, se redécouvrir et savoir se mettre en danger.
C’est exactement ce que Julien Gasc entreprend dans sa musique.

~ BIOGRAPHIE
Avec ‘Cerf, Biche et Faon’  premier album solo enregistré sur un TASCAM 4 pistes K7, Julien Gasc nous guide et nous sème dans la forêt de ses émotions, jouant avec sa voix éthérée et des instrumentations lyriques, sur fond de doux crépitement de cigarettes lo-fi.

Urgence de boucler les titres, coûte que coûte, une chanson par nuit dans un studio au cœur des étoiles avant une tournée en Amérique du Sud, l’album contient en lui une nécessité vitale : écrire, guérir, Jouir ! Il devait tourner une page de sa vie, d’un flot, d’un « jet d’eau », répétitions des heures durant, ouvrant ses sillons aux personnes chères pour des rendez vous insonorisés, en musique et en fumée.

Premier album solo après de riches collaborations (Aquaserge, Stereolab, April March, Katerine, Burgalat…), Julien Gasc y dévoile plus intimement le « diamant » qu’il recèle (la pierre de l’artiste selon lui), pour le faire vibrer sur le shellac. Chansons résolument pop pour la plupart, ou nourries par son énergie d’adolescent, sa mâturité artistique et technique n’étouffe en rien la fraîcheur et la spontanéité réinventées dans l’instant de l’enregistrement. Au fil du disque, sa barbe raspoutinienne nous séduit, nous pique, nous hérisse, nous caresse…Comme le disait Arthur Cravan, « (…) je suis tous les animaux, toutes les choses, tous les hommes (…) » , Julien Gasc serait il à la fois cerf, biche et faon ?

~ PRESSE

LES INROCKS (Stéphane Deschamps)
« Musique d’avant le numérique, chanson psyché, pop low-fi à la conquête de l’espace, rock teigneux chanté d’une voix blanche. Julien Gasc a voyagé dans les années 70, croisé des hippies et des punks, des dandys et des filles, et en est revenu avec ce disque à la fois rétro et intemporel, merveilleux. Les fans de Daniel Johnston et de chanson française affranchie des formats devraient se jeter sur cet ovni poétique et patraque. »

THE DRONE
« Les chansons de Gasc ne sont jamais nonchalantes: dans les arrangements de mots comme dans le son des caisses claires, elles risquent la violence, la lumière blanche, les questions embarrassantes. »

NOISEY/VICE
« Gasc écrit des chansons. Toutes belles, bizarres, puissantes, racées, tatouables, mystérieuses, ravageuses, envahissantes. Ici, pas d’élite bobo ni de cérébral à bander mou, appliqué et foufou, même si Gasc vit visiblement sur une planète plus érudite que la mienne. Non. On est dans l’AVENTURE. Écouter ce disque, c’est partir. »

POPNEWS
« Sur la pochette, il présente des faux airs du Paul McCartney en rupture de Beatles. Nullement régressif, sans cesse audacieux : dans un monde idéal, Julien Gasc devrait être tenu comme un modèle à défaut d’un possible futur. ‘Cerf, Biche et Faon’, ni gibier, ni trophée, simplement l’évidente noblesse du cervidé au port altier. »

VILLA SCHWEPPES
« Une scène « indie pop rock aventureuse et décomplexée » : Qui sont ils ? Aquaserge, Julien Gasc, Forever Pavot, Dorian Pimpernel ou encore Orval Carlos Sibelius. Comment les reconnaître ? Évidemment au goût absolu de la liberté appliquée à une musique facile d’accès composée et arrangée avec exigence. »

SHADAZZ
« Dans ‘Cerf, Biche et Faon’, nom dédié à son pays natal, l’enfant obsédé par les jupes matelassées nous laisse imaginer les lumières de son présent, un mélange de Canada, de punk-lyrico-beau-haletant. Les chansons s’écoutent avec attention, non comme des tirades auxquelles on puisse s’identifier, mais plutôt comme des chansons totems. Comme quand on écoute ‘Viens’ de Marie Lafôret par exemple, ou encore les envolées baroques de Michel Polnareff. »

RF8
« Enregistré avec l’énergie de l’insouciance, son album est drôle, touchant et rafraîchissant comme une brise inattendue dans un été convenu. »

PROFONDEUR DE CHAMPS
« Julien Gasc signe une ode épicurienne à la chaleur et la flânerie. Issu de l’écurie Born Bad, il incarne une pop française ambitieuse, bidouilleuse de sons et de textes. »

Julien Gasc – ‘Nos deux corps’

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