

PRESSE
Télérama
"Ainsi cet adieu, loin de nous jeter au fond du puits de la dépression – ce serait un comble en ces jours particuliers –, diffuse-t-il une étrange sensation de bien-être. On touche même à des instants de légèreté, comme savait en réserver Leonard Cohen." - François Gorin
20minutes
« Pris entre la peur du lendemain et l’espoir (entre The Day After That et The Worst Is Over), Matt Elliott signe un travail minutieux, épuré, tout à la fois sombre et aérien, dans la veine des grands songwriters tels que Smog, Nick Drake, Tim Buckley et l’immense Leonard Cohen. »
Le Soir
"Le monde de Matt Elliott a beau être sombre, l'instinct de (sur)vie est plus fort. Et tout est finalement fait ici pour réconforter et que nous nous chérissions plus que jamais..."