création MATT ELLIOTT & VΛCΛRME concerts 2019

Impulsée par Murailles Music  : la rencontre entre la folk hantée de Matt Elliott : et les textures chimériques de VΛCΛRME : promet de vous plonger dans une douce brume, avant de vous faire chavirer sous une pluie de cordes. En quinze ans et huit albums, le songwriter de Bristol a su imposer sa capacité à composer de véritables chansons-monde qui n’ont jamais peur de dépasser le cap des dix minutes. De son coté le trio à cordes n’a eu de cesse, depuis sa création en 2012, de se réinventer aussi bien en trio qu’au fil de diverses collaborations (Stranded Horse, Rone, Villeneuve & Morando).

Ici, parce qu’il est question de bien plus qu’un classique accompagnement,VΛCΛRME révélera l’essence d’un songwriting rare, sillonnant à travers les mélodies, au plus près d’elles et jusque dans le bois des instruments. Les murmures de Matt Elliott se loveront tendrement au creux des ouïes des violons et du violoncelle, au risque de voir en surgir ses plus profonds hurlements.

Matt Elliott (guitare, voix)
Carla Pallone (violon)
Christelle Lassort (violon)
Gaspar Claus  (violoncelle)

Avec le soutien de FGO – Barbara, de l’Adami (société civile pour l’Administration des Droits des Artistes et Musiciens Interprètes) et du CNV.

→ CONCERTS À VENIR :

21.03 •  Nyon (CH) • Temple de Nyon
22.03 • Istanbul (TR) • Nova Muzak, Borusan Music House avec Colleen 
30.03 • Niort (79) • Cloitre de l’hôpital, Festival Nouvelle(s) Scène(s) avec Helio Polar Thing, Léonie Pernet 
31.03 • La Riche (37) • Prieuré Saint-Cosme, Festival Superflux avec Seabuckthorn
01.04 • PARIS (75) • Café de la Danse 
06.04 • Lille (59) • Grande salle, PZZLE Festival avec This is the kit 
12.04 • Hyères (83) • Festival Faveurs de Printemps, Église Anglicane

Borja Flames : tournée 2019

À musique sans frontière, géographies éclatées : notre barde cyborg espagnol Borja Flames en son quatuor fou, franchira l’Allemagne (Stuttgart, Bamberg) les 9 & 11, puis la Suisse (Winterthour, Genève) les 12 & 13, avant de rentrer par Chalon-sur-Saône le 14 et Lyon le 15.

→ CONCERTS À VENIR :

09.02 • Stuttgart (DE) • Neue Schachtel Borja Flames
11.02 • Bamberg (DE) • Johanniskapelle 
12.02 • Winterthour (CH) • Kraftfeld 
13.02 • Genève (CH) • La Cave 12 
14.02 • Chalon-sur-Saône (71) • LaPéniche  
15.02 • Lyon (69) • Le Bimbo 
01.03 • Marseille (13) • Mucem 
02.03 • Clermont-Ferrand (63) • L’Hôtel des Vils
05.03 • Paris (75) • Petit Bain avec Orgue Agnès (Sourdure, 1er Chasseur, Èlg), Horse in the house (Gilles Poizat) 
29.03 • Maubec (84) • Les musiques inclassables font le printemps! à la Gare de Coustellet
07.04 • Lille (59) • PZZLE Festival : La Bulle Café – Maison Folie Moulins/ Flow  

Orgue Agnès : nouvelle signature !

Il était temps, d’apposer quelques couleurs vives à notre catalogue. C’est chose fête avec la joyeuse signature du trio Orgues Agnès (association des bienfaiteurs de Sourdure, Clément Vercelletto et Èlg). Découvrez leur impensable chaudron vaudou-dada, quelque part entre Dr John, le Tom Waits de Bone Machine, Royal Trux et l’électronique de pointe !

Laurent Gérard (Èlg, Opéra Mort), Ernest Bergez (Sourdure, Kaumwald) et Clément Vercelletto (Kaumwald, Arlt) forment Orgues Agnès. Un trio au sein duquel les énergies sont équitablement réparties:Ernest au violon multi polaire et à la voix de grotte,Clément à la boite à rythme sexy rouillée, aux toms et aux roulements à billes, et Laurent au babil alien et à l’orgue à sept touches. On retrouve dans leur musique une prédilection pour les sonorités analogiques, les vocaux distordus et les rythmiques chaloupées et hypnotiques. Une sorte de transe jubilatoire et génialement foutraque, faite d’incantations élastiques, éclatées, en spirales, gueulées-miaulées, un funk de blancs chauds abrasif, un funk de noirs froids larvé, du free dub à scotch, du dree sub à fcotch…

Leur premier album, « A Une Gorge », vient de sortir sur les labels Standard In-Fi (France, Tanz Mein Herz, Golem Mecanique…), Three:four Records (La Tène, Eloïse Decazes & Eric Chenaux, Norberto Lobo…) et A1000P.

Line-up :
– Ernest Bergez : violon (basse), voix
–Laurent Gérard : voix, synthétiseurs, guitalélé amplifié
– Clément Vercelletto  : percussions, électronique, voix

→ CONCERTS EN MARS : 

01.03 • Lyon (69) • Le Périscope avec Charles Mahaco 
02.03 • Lausanne (CH) • Le Bourg avec Lucas Ravinale & Loup Uberto 
03.03 • Genève (CH) • La Cave 12 avec Riyosuke Kiyasu 
05.03 • Paris (75) • Petit Bain avec Borja Flames, Gilles Poizat 
06.03 • Bruxelles (BE) • Les Ateliers Claus 

La Colonie de Vacances: bain de foule + concerts en mars

« Le projet live regroupant quatre groupes noise de l’Hexagone dévoile une vidéo qui tente de se rapprocher au plus près de l’expérience du spectateur pendant leurs concerts simultanés. C’est à voir en exclusivité sur «Libération».

Cela fait bientôt dix ans que le show quadriphonique de La Colonie de Vacances arpente toute la France et au-delà. Le projet a vu le jour à l’été 2010, à la faveur d’une tournée commune de quatre groupes de l’underground rock hexagonal, entre noise et math rock : Papier Tigre (Nantes), Marvin (Montpellier), Pneu (Tours) et Electric Electric (Strasbourg). Onze musiciens (cinq guitares, quatre batteries, deux claviers) mais la Colonie n’est pas un «supergroupe» : sur quatre scènes se faisant face, le public au milieu, les groupes se répondent, s’accompagnent, se combattent. Un spectacle total.

Difficile donc, de retranscrire la performance de ce projet live sur un support : après avoir tenté la captation à 360 degrés avec son binaural avec Arte, La Colonie de Vacances s’offre cette fois dans une vidéo qui cherche à coller au mieux à l’expérience de spectateur. Comme le décrivait le batteur de Marvin dans Libé en 2014 : «Le centre névralgique du concert n’est plus devant, ça devient le public lui-même. Le public circule, ne sait pas où regarder ni quand il va se passer quelque chose d’un côté ou de l’autre. Parfois, deux spectateurs se retrouvent face à face, chacun regardant du côté opposé.» Ces regards qui se croisent, qui se cherchent, qui s’affrontent, sont au centre du film réalisé par Grégoire Couvert et Grégoire Orio lors d’un concert à la Station à Aubervilliers en juin 2018. Plans serrés, image brut : on suit ces yeux fermés ou grands ouverts, interrogatifs ou déterminés, au fil de la musique qui se fait tour à tour hypnotique, menaçante voire violente. Dix minutes d’ivresse sonore, à apprécier ci-dessous, avant d’aller les voir en vrai, à l’occasion d’une mini-tournée entre la Manche et la Lozère. »

Adrien Franque – Libération

La Colonie de Vacances | Live — La Station filmé par AS HUMAN PATTERN

→ CONCERTS À VENIR :

13.03 • Cherbourg • Festival SPRING La Brèche, Pôle National Cirque de Normandie 
14.03 • PARIS • Le Cabaret Sauvage  
15.03 • Bourges • Le Nadir 
16.03 • Mende (48) • Halle Saint-Jean 
23+24.08 • Guéret (23) • Festival Check in Party 

Nouvelle signature : Lucie Antunes

Nous sommes ravis de vous présenter notre nouvelle signature Lucie Antunes (vous l’aurez sans doutes déjà croisée à l’occasion de ses diverses créations multidisciplinaires et engagées si ce n’est derrière les fûts d’Aquaserge ou de Moodoïd). Son premier album ’Sergeï’’ dont la sortie est imminente sur le label Cry Baby, est chargé à la gueule de rêveries instrumentales chatoyantes et brisées, synthétiques ou acoustiques, toujours incarnées. Ses plus envoûtants arguments vous seront dévoilés sur scène lors d’une première au Théâtre de Vanves, le 22 février avec des invités de marque !

→ tickets : http://bit.ly/2HnPMIy
→ event : http://bit.ly/2WUuWo2

Lucie Antunes & Guests
« Sergeï » [première avant sortie d’album]

Qui est SERGEÏ ? Un videur de boite de nuit ? Un colosse au visage émacié qui parle avec un fort accent ? Un mâle blanc venu du froid, un peu rustre, qui vous piétine sans s’excuser ? Fausse route…

SERGEÏ, c’est un personnage sans tête, un homme tronc aux bras musclés, d’une force titanesque et d’une sensibilité hallucinante dans lequel vient se loger la folie créative et bouillonnante de Lucie Antunes. En écoutant SERGEÏ, on pense à un Terry Riley qui aurait mangé de la testostérone, un Steve Reich sous ecstasy, et plus généralement à tous les précurseurs de la musique répétitive…Une traversée sensorielle universelle qui nous fait découvrir de nouvelles matières sonores grâce au mélange de sons acoustiques, d’objets de récupérations et de sons électroniques. Sur scène SERGEÏ est un monstre à 6 mains et trois têtes : Lucie Antunes (batterie, marimba, vibraphone, percu), Jean-Sylvain Le Gouic (qu’on a croisé récemment dans le groupe JUVENILES) au moog, prophet, percussion et modulaires et Franck Berthoux complice de toujours qui traite le son en temps réel sur scène.

Lucie Antunes : Composition, percussions, vibraphone, batterie, marimba
Jean-Sylvain Le Gouic :  Synthétiseurs, basse, modulaires, percussions
Franck Berthoux : Traitement du son en temps réel, machines, basse, modulaires
François-Joseph Botbol : Vidéo

Invités : Lucie Antunes, Jean Sylvain Le Gouic, Paul Changarnier, Nathalie Forger, KIM, Clémence Lasme, Gaspar Claus, HALO MAUD, Yadh Elyes

Gourde MM ‘daily’ inox 450 ml

ÉCO. │ Une nouvelle année démarre et avec elle la conscience de l’impact sur la planète par chacun de nos geste n’a jamais été aussi forte.
L’industrie musicale n’est pas épargnée. Nous souhaitons aujourd’hui participer à la réduction des déchets plastiques engendrés par une forte consommation de bouteilles d’eau à usage unique de la part des artistes et des techniciens (sur scène / en répétitions / à l’occasion des déplacements en tournée). Tout le monde est concerné et si vous voulez vous joindre à cette initiative, vous êtes chaleureusement invités à commander sur notre shop cette gourde en inox de 450 ml gravée de notre logo pour un usage à vie ! → https://bit.ly/2FAvHgB

Merci à The Green Room pour l’impulsion.
Fabrication : Gaspajoe, gourde et fière de l’être

Nouvelle signature : Jerusalem In My Heart (LB/CA)

Murailles Music est fier de vous annoncer la signature de Jerusalem In My Heart, un des plus incandescents brûlots poétiques et politiques du label Constellation. Tressant en virtuose les fils électriques de la musique Arabe traditionnelle, la recherche sonore de pointe, la poésie pulsative de Radwan Ghazi Moumneh (fondateur du mythique studio Hotel2Tango à Montreal) avec le cinéma expérimental et un Art contemporain parfaitement ensauvagé, c’est un vaisseau spatial, un ahurissement, célébrant la transe et les accidents de parcours heureux. Ne les manquez pas le 14 novembre au Petit Bain à Paris, ainsi que le 26 janvier 2019 au Festival MOFO à St Ouen.

Le duo libano-montréalais Jerusalem In My Heart (JIMH), collaboration audiovisuelle de musiques arabes contemporaines réunissant le musicien et producteur Radwan Ghazi Moumneh et le cinéaste expérimental Charles-André Coderre, a vu le jour il y a une quinzaine d’années sous forme de manifestations artistiques in situ uniques et éphémères, composées de divers éléments multimédias et théâtraux. Les projections 16 mm en boucle font partie intégrante de l’identité artistique de JIMH. La musique de JIMH repose sur un métissage de chants mélismatiques arabes, de bouzouki et de traitements sonores résolument contemporains: synthétiseurs modulaires, bancs de filtres, bruitisme électroacoustique, échantillonnages, etc. La musique enregistrée de JIMH rend hommage aux sons bruts et distorsionnés de la cassette audio, pilier de la culture musicale arabe, sur un fond de musique électronique contemporaine. Les paroles de Moumneh, profondément expressives, laissent transparaître son engagement sociopolitique, et aussi empreintes d’émotion et d’une ardente nostalgie.

« Radwan Ghazi Moumneh alias Jerusalem In My Heart creuse un sillon passionnant, mêlant musiques arabes traditionnelles et avant-gardisme noise ou electro. A l’opposé de toute superposition stérile, il orchestre une tension féconde, un geyser d’émotions brûlant et glacé. Si le projet est d’abord scénique, l’écoute du disque est tout sauf anecdotique. Des mirages dans une mégalopole, des drones dans le désert – les seuls qu’on voudrait y voir. » Les Inrockuptibles

→ Concerts à venir :

26.01 • Saint-Ouen (93) • Festival MOFO 
27.01 • Nancy (54) • Galerie My Monkey 
28.01 • Lausanne (CH) • Le Bourg avec Aaron Moore & Erik K Skodvin 

MARC MELIÀ : tournée 2019

« Bloqué au sol par la gravité, Marc Melià revient presqu’un an après son album « Music for Prophet » avec une poignée de nouvelles chansons oubliées dans la malle arrière de sa fusée. « Echoes of Prophet » (Les Disques du Festival Permanent & Koridor). Ça s’écoute dès maintenant, et c’est toujours aussi planant.

Qu’on parle de conquête spatiale ou de musique, il y a toujours des chutes. Dans le premier cas, des humains tentant de quitter la planète terre meurent cramés par le kérosène de leurs engins défaillants ; dans le second, et c’est plus heureux, il est question de morceaux mis de côté sur un album, et que les musiciens rédécouvrent plus tard en décidant, à la manière d’un tableau, de les terminer. Et c’est précisément ce qui est arrivé à Marc Melià après la sortie de « Music for Prophet » : le petit astronaute bruxello-espagnol en avait encore sous la pédale.
Après l’album et la K7 envoyée dans l’espace, voici donc l’EP Echoes of Prophet, à situer quelque part dans la galaxie Terry Riley, à droite juste après le rond point Jonathan Fitoussi. Il y est toujours question d’exploration de l’instrument qui a donné son nom à l’album (le Prophet 08) et les 5 morceaux mériteraient d’être joués en boucle par toutes les compagnies aériennes. Bref, et encore une fois, Melià marque des points. Bon voyage. »
Chronique de Gonzaï

→ Concerts à venir :

GRANDE — enfin en disque !

Vimala Pons et Tsirihaka Harrivel sont deux figures du cirque contemporain. Ces geeks multi-instrumentistes touche-à-tout présentent depuis 2016 le spectacle GRANDE — sur les scènes de France et d’Europe. Dans la tradition du music hall qui leur est cher, cette pièce à rebours qui célèbre l’amour est jalonnée de hits bricolés de petits instruments laissant en tête de grandes mélodies. Après 3 ans de représentation, l’envie a germé d’un objet qui renfermerait cette musique omniprésente sur scène et dont les spectateurs émus ne peuvent se départir. Epaulés par Olivier Demeaux (Heimat, Cheveu, Accident du Travail), c’est en studio, reprenant les grands thèmes des revues de GRANDE — que les trois filous interprètent, arrangent, bouclent, en un mot: bidouillent, ce disque-OVNI, à la croisée de la musique de film et de l’album-concept. Sont convoqués ici l’expérimentation psychédélique de White Noise, les grandes BO italiennes de Morricone et Rota, ou japonaises de Yokohama et Kawai, s’entremêlant dans cet underground très français, de Brigitte Fontaine à La Grande Triple Alliance Internationale de l’Est. Un grand moment de musique ressentie et frissonnante.

Vimala Pons : chant, clavier, multipad, clarinette, claquettes
Tsirihaka Harrivel : chant, clavier, groovebox, guitare, trompette
Olivier 2mo: basson midi, solo de guitare, cordes synthétiques
Morgan Romagny : synthétiseurs additionnels

→ PRESSE

« Échappée sans fin ou faux plan-séquence à cinq prises qui ne cache pas sa mise, on suit Vimala Pons de dos se débattre comme dans un étrange jeu d’arcade vertigineux, façon Hulk sur fond de musique électronique lascive et décélérée, envapée de voix moelleuses. » Libération

« The songs are based on music used in the Grande — show and are inspired by a love of music hall but also wonky synth pop and classic Italian film soundtracks – the title ‘Rome Yamaha’ just about sums up this convergence of styles. ‘J’ai rien fait’ is both sprightly and tragic, and the tipsy cruise ship waltz of ‘Tranquille’ has a vibe close to I’m Your Man-era Leonard Cohen but with extra injections of clattering, strafing noise (and much higher-pitched vocals). » The Quietus